[ Série ] La Résidence
- Steven le Tonqueze
- 2 mai
- 2 min de lecture

J’ai regardé La Résidence sur Netflix… et je ne m’en suis toujours pas remis
Bon, on se retrouve aujourd’hui pour parler d’une série que j’ai dévorée (et un peu binge-watchée, je l’avoue) : La Résidence, sur Netflix. Si vous aimez les séries qui mêlent pouvoir, manipulations, secrets bien planqués sous les tapis moelleux d’une maison ultra-sécurisée… vous allez être servis.
Bienvenue à la Maison-Blanche… côté coulisses
L’histoire commence avec un cadavre. Oui, oui, un meurtre à la Maison-Blanche, rien que ça. Et pas dans un coin perdu : dans la résidence privée du président des États-Unis. Autant vous dire que ça met tout le monde en panique. Très vite, on comprend que chaque personne qui vit ou travaille là-dedans cache quelque chose. Et là, l’enquêtrice entre en scène : Cordelia Cupp. Elle est brillante, un peu barrée, très drôle, et surtout, elle ne lâche rien. Un vrai vent de fraîcheur au milieu d’un nid de vipères.
Shondaland, toujours au top
Si le nom de Shonda Rhimes vous dit quelque chose (Scandal, Grey’s Anatomy, How to Get Away with Murder…), vous savez à quoi vous attendre : des dialogues qui claquent, des twists à chaque épisode, et des personnages qu’on adore détester. La Résidence, c’est un peu un Cluedo version 2025, dans les couloirs les plus puissants du monde. Et c’est addictif.

Uzo Aduba est incroyable
Je dois en parler : Uzo Aduba (oui, Suzanne dans Orange Is the New Black) est absolument géniale dans ce rôle. Elle apporte une intensité, un humour pince-sans-rire et une humanité à Cordelia qui rendent le personnage ultra attachant. Franchement, elle porte la série sur ses épaules.
Alors, je recommande ?
Carrément. Ce n’est pas juste une enquête, c’est une vraie plongée dans les dessous du pouvoir, avec ce qu’il faut de satire, de drame, et même d’émotion. Si vous aimez les intrigues bien ficelées, les ambiances feutrées et les personnages ambigus, foncez. C’est du bon, du très bon.
Et si vous l’avez déjà vue, dites-moi ce que vous en avez pensé. Vous aviez deviné le coupable ? Parce que moi… pas du tout !
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